L’Escale verte – la marque des écoboutiques de Ville en vert – se joint à la 7e édition de l’initiative « L’économie sociale : j’achète ! » organisée par le Conseil d’économie sociale de l’île de Montréal (CESIM). Cette initiative vise à favoriser les liens d’affaires entre les entreprises d’économie sociale et les grandes institutions de la région.
La 7e édition de cette initiative regroupe 28 entreprises d’économie sociale montréalaises et 37 grandes institutions et entreprises privées qui se sont engagées à privilégier l’économie sociale dans leurs processus d’approvisionnement. L’édition précédente avait conduit à la signature de 132 contrats d’une valeur totale de 14 millions de dollars, contribuant ainsi à des objectifs sociaux tels que la réinsertion socioprofessionnelle, la sécurité alimentaire, et la promotion de pratiques plus écologiques.
Pour les entreprises participantes, cette édition représente une opportunité d’élargir leur réseau d’affaires, d’améliorer leurs compétences en marketing et gestion, de mieux comprendre les processus d’achat des grandes institutions et d’accroître leur visibilité auprès des acheteurs potentiels. De plus, cette thématique centrée sur les achats locaux offre une occasion supplémentaire de développer des partenariats et des collaborations.
L’économie sociale joue un rôle crucial à Montréal, générant plus de 67 000 emplois directs et 11,7 milliards de dollars de revenus annuels. Sur l’île de Montréal, on compte près de 2800 entreprises d’économie sociale, dont 73 % sont des organisations à but non lucratif et 27 % sont des coopératives et mutuelles. Ces entreprises emploient majoritairement des femmes (59 %), des jeunes de moins de 35 ans (36 %), et des travailleurs à temps plein (61 %).
Luc Rabouin, président du comité exécutif de la Ville de Montréal, a souligné l’importance des entreprises d’économie sociale en tant que moteurs de la vitalité économique locale et de l’inclusion sociale. Il a également encouragé leur soutien pour contribuer à rendre Montréal plus dynamique, inclusive et durable.
Madame Édith Cyr, présidente du CESIM, a quant à elle salué les 37 grandes institutions et organisations qui se sont engagées à favoriser l’économie sociale dans le contexte de la transition socio-écologique, soulignant les retombées directes de ces entreprises sur la communauté grâce à leur mission sociale et leur statut d’entreprise collective.
Christophe Derrien, directeur général de Ville en vert : « Engager Ville en vert via les écoboutiques de l’Escale verte dans l’initiative « L’économie sociale : j’achète ! » nous permet de contribuer de manière significative à résoudre des problèmes sociaux ou environnementaux. En effet, proposer des produits éco-responsables aux résident.e.s, notamment des produits vracs, contribue à promouvoir notre mission de générer des changements écologiques durables dans les communautés et modifier les habitudes de consommation. Notre vision de bâtir ensemble une ville en vert passe inéluctablement par l’économie sociale pour favoriser la mise en place de milieux de vies sains et écologiques pour tous.tes. »
L’Escale Verte apporte ainsi sa contribution en mettant en avant des produits respectueux de l’environnement, tout en sensibilisant les résident.e.s montréalais aux gestes quotidiens à adopter pour réduire notre empreinte environnementale. La participation d’écoboutiques engagées dans la consommation éco-responsable comme L’Escale verte renforce l’impact positif de l’initiative « L’économie sociale : j’achète ! » et contribue au rayonnement et à la démocratisation de la transition socio-écologique à Montréal.
Pour débuter la soirée avec élégance tout en privilégiant l’écoresponsabilité, optez pour cette terrine végane qui représente notre engagement en faveur d’une alimentation saine et respectueuse de la planète.
Pour faire ressortir les saveurs, la cuisson de la terrine doit se faire de manière lente à basse température. Bien que réalisable au four, simplifiez-vous la tâche en optant pour une mijoteuse. Cela vous dispensera d’une surveillance constante, vous permettant de laisser simplement la mijoteuse faire tout le travail.
Pour ceux qui ne possèdent pas de mijoteuse, sachez que vous pouvez en louer une gratuitement à l’Outil-o-thèque, qui propose également divers articles de cuisine pour vous aider à préparer et servir le repas de Noël.
Ingrédients:
2 tasses de flocons d’avoine
½ bloc de tofu ferme
1 tasse de pacanes ou noix de Grenoble
1 tasse d’olives vertes
2 c. à soupe de sauce soya
1/4 de tasse d’huile d’olive
Jus de 1 citron
1 c. à soupe de fécule de mais
1 tasse d’eau
1 oignon jaune
2 gousses d’ail
2 tasses de champignons de Paris, émincés
1 c. à thé de persil séché
1 c. à thé de thym séché
1 c. à thé de paprika doux
1 c. à soupe d’oignon émincé déshydraté
Sel et poivre au gout
Préparation
Mettre l’avoine, le tofu, les olives et les noix dans le robot culinaire.
Incorporer l’huile d’olive, le jus de citron, la sauce soya, les épices, ainsi que la fécule dissoute dans l’eau.
Mélangez pendant quelques secondes, jusqu’à obtenir une consistance homogène.
Ajoutez le sel et le poivre et goûtez au besoin pour ajuster l’assaisonnement.
Dans une poêle de taille moyenne, faites revenir les champignons finement hachés, ajoutez de l’huile au besoin, puis incorporez-les au mélange pour le pâté.
Dans la même poêle, faites revenir les oignons et l’ail hachés dans de l’huile à feu moyen pendant 5 minutes et incorporez-les au mélange pour le pâté.
Incorporer les oignons déshydratés.
Huilez légèrement un moule à pain ou une terrine qui s’adapte à la mijoteuse.
Placez le mélange pour le pâté dans le moule, pressez-le et lissez la surface.
Couvrez-le de papier aluminium ou utilisez le couvercle de la terrine.
Placez le moule ou la terrine dans la mijoteuse et versez 2,5 cm d’eau chaude au fond de l’appareil.
Couvrez, réglez la mijoteuse à faible intensité et laissez cuire pendant 4 heures.
Retirez le moule de la mijoteuse et laissez-le refroidir complètement avant de le démouler. Réfrigérez pendant plusieurs heures, avant de servir.
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Dernière mise à jour: 8 février 2024 par Communications
L’Escale verte s’engage dans l’initiative ‘L’économie sociale : j’achète !’ du CESIM
L’Escale verte – la marque des écoboutiques de Ville en vert – se joint à la 7e édition de l’initiative « L’économie sociale : j’achète ! » organisée par le Conseil d’économie sociale de l’île de Montréal (CESIM). Cette initiative vise à favoriser les liens d’affaires entre les entreprises d’économie sociale et les grandes institutions de la région.
La 7e édition de cette initiative regroupe 28 entreprises d’économie sociale montréalaises et 37 grandes institutions et entreprises privées qui se sont engagées à privilégier l’économie sociale dans leurs processus d’approvisionnement. L’édition précédente avait conduit à la signature de 132 contrats d’une valeur totale de 14 millions de dollars, contribuant ainsi à des objectifs sociaux tels que la réinsertion socioprofessionnelle, la sécurité alimentaire, et la promotion de pratiques plus écologiques.
Pour les entreprises participantes, cette édition représente une opportunité d’élargir leur réseau d’affaires, d’améliorer leurs compétences en marketing et gestion, de mieux comprendre les processus d’achat des grandes institutions et d’accroître leur visibilité auprès des acheteurs potentiels. De plus, cette thématique centrée sur les achats locaux offre une occasion supplémentaire de développer des partenariats et des collaborations.
L’économie sociale joue un rôle crucial à Montréal, générant plus de 67 000 emplois directs et 11,7 milliards de dollars de revenus annuels. Sur l’île de Montréal, on compte près de 2800 entreprises d’économie sociale, dont 73 % sont des organisations à but non lucratif et 27 % sont des coopératives et mutuelles. Ces entreprises emploient majoritairement des femmes (59 %), des jeunes de moins de 35 ans (36 %), et des travailleurs à temps plein (61 %).
Luc Rabouin, président du comité exécutif de la Ville de Montréal, a souligné l’importance des entreprises d’économie sociale en tant que moteurs de la vitalité économique locale et de l’inclusion sociale. Il a également encouragé leur soutien pour contribuer à rendre Montréal plus dynamique, inclusive et durable.
Madame Édith Cyr, présidente du CESIM, a quant à elle salué les 37 grandes institutions et organisations qui se sont engagées à favoriser l’économie sociale dans le contexte de la transition socio-écologique, soulignant les retombées directes de ces entreprises sur la communauté grâce à leur mission sociale et leur statut d’entreprise collective.
Christophe Derrien, directeur général de Ville en vert : « Engager Ville en vert via les écoboutiques de l’Escale verte dans l’initiative « L’économie sociale : j’achète ! » nous permet de contribuer de manière significative à résoudre des problèmes sociaux ou environnementaux. En effet, proposer des produits éco-responsables aux résident.e.s, notamment des produits vracs, contribue à promouvoir notre mission de générer des changements écologiques durables dans les communautés et modifier les habitudes de consommation. Notre vision de bâtir ensemble une ville en vert passe inéluctablement par l’économie sociale pour favoriser la mise en place de milieux de vies sains et écologiques pour tous.tes. »
L’Escale Verte apporte ainsi sa contribution en mettant en avant des produits respectueux de l’environnement, tout en sensibilisant les résident.e.s montréalais aux gestes quotidiens à adopter pour réduire notre empreinte environnementale. La participation d’écoboutiques engagées dans la consommation éco-responsable comme L’Escale verte renforce l’impact positif de l’initiative « L’économie sociale : j’achète ! » et contribue au rayonnement et à la démocratisation de la transition socio-écologique à Montréal.
Pour en savoir plus sur les écoboutiques L’Escale verte: consulter le site internet
Recette de Noël – Terrine végane
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Dernière mise à jour: 21 décembre 2023 par Communications
Pour débuter la soirée avec élégance tout en privilégiant l’écoresponsabilité, optez pour cette terrine végane qui représente notre engagement en faveur d’une alimentation saine et respectueuse de la planète.
Pour faire ressortir les saveurs, la cuisson de la terrine doit se faire de manière lente à basse température. Bien que réalisable au four, simplifiez-vous la tâche en optant pour une mijoteuse. Cela vous dispensera d’une surveillance constante, vous permettant de laisser simplement la mijoteuse faire tout le travail.
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