La
nature est abondante de nourriture. Dans notre belle Montréal, agrémenter ses
plats de plantes fraîchement cueillies peut se révéler très nutritif et
savoureux. En joignant cueillette et culture, vous vous surprendrez à acheter
très peu de fruits et légumes au cours de l’été. Toutefois, certaines règles
importantes sont à suivre afin de s’assurer de choyer nos corps de santé, et
non le contraire. Les voici:
Lavez bien ce que vous cueillez, et assurez-vous de ne pas faire de cueillette sur un sol contaminé.
Assurez-vous de bien identifier votre généreuse plante. Ne forcez pas votre corps à manger une plante qu’il n’apprécie pas.
Mangez de petites quantités d’une nouvelle plante les premières fois afin de laisser votre corps s’adapter. Cela est valable pour les nouveaux aliments venant du marché aussi.
Évitez de manger plusieurs nouvelles plantes au courant de la même journée. Ainsi, dans le cas d’un aliment mal toléré par le corps, vous saurez l’identifier. Écoutez votre corps, il vous le dira!
Attendez 24h avant d’en remanger et soyez attentif aux possibles réactions. (1)
6) Veillez toujours à respecter la nature. Tentez d’éviter de piétiner les plantes et répartissez votre cueillette sur plusieurs individus. En règle générale, on ne devrait pas cueillir plus du tiers d’un individu afin de lui permettre de se régénérer. Plus de détails sur la cueillette sauvage écoresponsable ici.
1. Chou gras, délice de nos campagnes
Elle
se fait appeler épinard sauvage, chénopode blanc ou encore poulette grasse.
Elle a une douce texture grasse et s’apprête à merveille dans les sautés et
plats mijotés. On utilise l’extrémité de ses tiges, ses feuilles et les jeunes
pousses de la même manière que son cousin l’épinard. Les racines fraîches,
quant à elles, donnent un savon doux. De plus, ses graines peuvent être
apprêtées en gruau, ou moulues en farine. Le quinoa est d’ailleurs la graine
d’un chénopode.
Attention, il est déconseillé de
consommer les chénopodes crus en raison de la saponine, des nitrates et de
l’acide oxalique qu’ils contiennent. Une fois cuits, ceux-ci disparaissent mais
des oxalates apparaissent. Les malades rénaux, hépatiques, arthritiques ou
lithiasiques devront s’en méfier. (2)
Pour plus d’information afin de l’identifier correctement, cliquez ici.
2. Grand plantain, tu détrônes les bananes du Québec
À court de laitue dans
votre potager? Aller faire un tour dans vos ‘’mauvaises herbes’’ pour y
dénicher les incroyables bienfaits des feuilles de plantains. En plus d’être
riches en nutriments, elles ont de nombreuses propriétés dont, entre autres,
leur pouvoir cicatrisant. Depuis l’antiquité, on l’écrase pour faire des
cataplasmes. Voyez par vous même au camping; mâchez une feuille et collez-la
sur votre piqûre, vous sentirez rapidement le soulagement du secours que vous
apporte la plante, telle une bonne grand-mère.
Venez vous en faire des provisions en
mettant la main à la pâte au désherbage de nos jardins.
Pour plus d’informations sur le grand plantain, cliquez wiki ou passez du bon temps en famille à le découvrir avec le livre Monsieur Plantainpour les 3 à 6 ans.
3. Fleurs comestibles, vous nourrissez notre faim de beauté
Laliste des fleurs à incorporer dans nos repas est longue; pensées, marguerites, fleurs de fines herbes, calendula, camomille, verge d’or, pissenlit, fleurs de trèfle, fleurs de ciboulette, hémérocalle, bourrache, fleurs d’agastache (mes préférées), capucines, roses… Que de possibilités de créativité dans la cuisine, et ce du matin au soir! Il est agréable d’aller prendre une marche le matin et de cueillir quelques fleurs à infuser comme accompagnement à un déjeuner de tartines ou de gruau garni de fleurs de bourrache et de pensées. Plus tard, on pourra en ajouter dans les rouleaux de printemps, sur la soupe, dans la crème glacée ou même sur les comptoirs et les petites tables pour nourrir nos yeux et nous faire sentir tout doux en dedans! La cerise sur le dessert; nombreuses fleurs ont des propriétés médicinales à découvrir et à étudier.
Pour découvrir davantage de plantes comestibles du Québec et être aux aguets tant qu’aux plantes sauvages toxiques, passez dans une bibliothèque près de chez vous afin d’emprunter le livre Plantes sauvages comestibles, de la merveilleuse botaniste et écologiste Gisèle Lamoureux. D’ici là, délectez-vous bien des aliments présentés ci-dessus faciles à dénicher dans notre grand garde-manger montréalais!
Sources:
(1)
Lavallée, Bernard, Sauver la planète une
bouchée à la fois, Les Éditions La Presse, 2015
(2) Cooper, M. R., Johnson, A. W. 1984. Poisonous plants in Britain and their effects on animals and man. Her Majesty’s Stationery Office, London, England. 305 pp.
Sous
la supervision directe du chef d’équipe, la personne accueille et informe les
citoyens sur place et assure la réception téléphonique pour l’organisme tout en
participant à sa promotion et ses activités. La personne a pour tâche
d’informer et de sensibiliser les citoyens à de meilleures pratiques
environnementales, notamment sur les thèmes de la gestion des matières
résiduelles (recyclage, résidus alimentaires, résidus domestiques dangereux et
compostage) et le développement durable. Le travail se fait par le biais de
différentes activités, dont le porte-à-porte dans les édifices à logements,
l’inspection de bacs, l’organisation des corvées de propreté ainsi que
l’organisation des kiosques dans des événements variés. Les tâches des agents
peuvent inclure, sans s’y limiter :
Description
des tâches
Accueillir et renseigner les citoyens de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension dans les trois points de service
Effectuer le service à la clientèle et répondre aux requêtes de matériel et outils utilisés pour la gestion des matières résiduelles
Répondre aux résidents quant aux questions reliées aux divers mandats de Ville en vert ou les diriger aux bonnes personnes, au besoin
Rédiger des articles et créer le contenu pour les infolettres, blogues et les réseaux sociaux
Répondre aux questions et aux demandes courantes des résidents et des divers intervenants
Transmettre les informations sur les programmes gérés par l’organisme, le fonctionnement et l’admissibilité
Rencontrer les citoyens via porte-à-porte afin de les sensibiliser à la saine gestion des matières résiduelles et de répondre à des demandes de l’arrondissement, s’il y a lieu
Assurer le suivi des requêtes et rédiger les rapports d’intervention et de suivi
Organiser des corvées de nettoyage et des kiosques d’information certains soirs ou fins de semaine
Réaliser des tâches administratives et de gestion de données
Rédiger des outils de communication et de sensibilisation
Rédiger des courriels, documents, rapports, tableaux
Contribuer, avec les membres de l’équipe, à l’entretien régulier des aires de travail
Toute autre tâche connexe à la mission de l’organisme
Exigences
Formation reliée à l’environnement
Expérience en service à la clientèle
Français et anglais, parlés et écrits
Cycliste
expérimenté et disposer d’un vélo
Habileté à travailler en équipe
Bonne connaissance des outils de la suite
Office
Flexibilité au niveau des horaires de travail
Être en bonne condition
physique (soulever un poids de 20 kg à l’occasion).
Bonne connaissance de
l’utilisation des réseaux sociaux (Facebook, Instagram et Twitter)
Compétences et aptitudes
Entregent et grande habileté à communiquer
Sens de la débrouillardise
Polyvalence, créativité et adaptabilité
Connaissances de WordPress, un
atout
Conditions
Taux horaire : entre 14 $/h et 16,75 $/h
37.5 heures par semaine
Horaire variable jours, soirs et fins de
semaine
Du lundi au vendredi (3 jours de 8 h à 17 h,
2 jours de 12 h à 20 h)
Entrée en fonction : immédiatement
Les candidats intéressés doivent faire parvenir
une lettre de présentation avec leur curriculum vitae aussitôt que possible,
mais avant le 15 septembre 2019 à 9 h à : [email protected].
Nous vous remercions à l’avance de déposer votre
candidature. Veuillez
toutefois prendre en note que Ville en vert communiquera uniquement
avec les personnes sélectionnées pour fixer une date d’entrevue.
3 incontournables à cueillir sur la belle île de Montréal
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Dernière mise à jour: 7 janvier 2020 par Christophe Derrien
La nature est abondante de nourriture. Dans notre belle Montréal, agrémenter ses plats de plantes fraîchement cueillies peut se révéler très nutritif et savoureux. En joignant cueillette et culture, vous vous surprendrez à acheter très peu de fruits et légumes au cours de l’été. Toutefois, certaines règles importantes sont à suivre afin de s’assurer de choyer nos corps de santé, et non le contraire. Les voici:
6) Veillez toujours à respecter la nature. Tentez d’éviter de piétiner les plantes et répartissez votre cueillette sur plusieurs individus. En règle générale, on ne devrait pas cueillir plus du tiers d’un individu afin de lui permettre de se régénérer. Plus de détails sur la cueillette sauvage écoresponsable ici.
1. Chou gras, délice de nos campagnes
Elle se fait appeler épinard sauvage, chénopode blanc ou encore poulette grasse. Elle a une douce texture grasse et s’apprête à merveille dans les sautés et plats mijotés. On utilise l’extrémité de ses tiges, ses feuilles et les jeunes pousses de la même manière que son cousin l’épinard. Les racines fraîches, quant à elles, donnent un savon doux. De plus, ses graines peuvent être apprêtées en gruau, ou moulues en farine. Le quinoa est d’ailleurs la graine d’un chénopode.
Attention, il est déconseillé de consommer les chénopodes crus en raison de la saponine, des nitrates et de l’acide oxalique qu’ils contiennent. Une fois cuits, ceux-ci disparaissent mais des oxalates apparaissent. Les malades rénaux, hépatiques, arthritiques ou lithiasiques devront s’en méfier. (2)
Pour plus d’information afin de l’identifier correctement, cliquez ici.
2. Grand plantain, tu détrônes les bananes du Québec
À court de laitue dans votre potager? Aller faire un tour dans vos ‘’mauvaises herbes’’ pour y dénicher les incroyables bienfaits des feuilles de plantains. En plus d’être riches en nutriments, elles ont de nombreuses propriétés dont, entre autres, leur pouvoir cicatrisant. Depuis l’antiquité, on l’écrase pour faire des cataplasmes. Voyez par vous même au camping; mâchez une feuille et collez-la sur votre piqûre, vous sentirez rapidement le soulagement du secours que vous apporte la plante, telle une bonne grand-mère.
Venez vous en faire des provisions en mettant la main à la pâte au désherbage de nos jardins.
Pour plus d’informations sur le grand plantain, cliquez wiki ou passez du bon temps en famille à le découvrir avec le livre Monsieur Plantain pour les 3 à 6 ans.
3. Fleurs comestibles, vous nourrissez notre faim de beauté
La liste des fleurs à incorporer dans nos repas est longue; pensées, marguerites, fleurs de fines herbes, calendula, camomille, verge d’or, pissenlit, fleurs de trèfle, fleurs de ciboulette, hémérocalle, bourrache, fleurs d’agastache (mes préférées), capucines, roses… Que de possibilités de créativité dans la cuisine, et ce du matin au soir! Il est agréable d’aller prendre une marche le matin et de cueillir quelques fleurs à infuser comme accompagnement à un déjeuner de tartines ou de gruau garni de fleurs de bourrache et de pensées. Plus tard, on pourra en ajouter dans les rouleaux de printemps, sur la soupe, dans la crème glacée ou même sur les comptoirs et les petites tables pour nourrir nos yeux et nous faire sentir tout doux en dedans! La cerise sur le dessert; nombreuses fleurs ont des propriétés médicinales à découvrir et à étudier.
Laissez-vous tenter par cette recette de câpres de boutons floraux de marguerites et donnez-nous en des nouvelles. (Pssst; on peut utiliser les boutons d’autres fleurs comestibles pour cette recette.)
Pour découvrir davantage de plantes comestibles du Québec et être aux aguets tant qu’aux plantes sauvages toxiques, passez dans une bibliothèque près de chez vous afin d’emprunter le livre Plantes sauvages comestibles, de la merveilleuse botaniste et écologiste Gisèle Lamoureux. D’ici là, délectez-vous bien des aliments présentés ci-dessus faciles à dénicher dans notre grand garde-manger montréalais!
Sources:
(1) Lavallée, Bernard, Sauver la planète une bouchée à la fois, Les Éditions La Presse, 2015
(2) Cooper, M. R., Johnson, A. W. 1984. Poisonous plants in Britain and their effects on animals and man. Her Majesty’s Stationery Office, London, England. 305 pp.
Agent(e) à l’accueil et à la propreté
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Dernière mise à jour: 7 janvier 2020 par Christophe Derrien
Sous la supervision directe du chef d’équipe, la personne accueille et informe les citoyens sur place et assure la réception téléphonique pour l’organisme tout en participant à sa promotion et ses activités. La personne a pour tâche d’informer et de sensibiliser les citoyens à de meilleures pratiques environnementales, notamment sur les thèmes de la gestion des matières résiduelles (recyclage, résidus alimentaires, résidus domestiques dangereux et compostage) et le développement durable. Le travail se fait par le biais de différentes activités, dont le porte-à-porte dans les édifices à logements, l’inspection de bacs, l’organisation des corvées de propreté ainsi que l’organisation des kiosques dans des événements variés. Les tâches des agents peuvent inclure, sans s’y limiter :
Description des tâches
Exigences
Compétences et aptitudes
Conditions
Les candidats intéressés doivent faire parvenir une lettre de présentation avec leur curriculum vitae aussitôt que possible, mais avant le 15 septembre 2019 à 9 h à : [email protected]. Nous vous remercions à l’avance de déposer votre candidature. Veuillez toutefois prendre en note que Ville en vert communiquera uniquement avec les personnes sélectionnées pour fixer une date d’entrevue.
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