Vins de France, cacao de la Côte d’Ivoire, sucre du Brésil, poissons du Chili et café du Madagascar. Voici une liste non exhaustive des aliments que l’on importe le plus au Québec.
1re place : boissons, liquides alcooliques et vinaigres
C’est la catégorie bioalimentaire la plus sujette à l’importation (22 %). La province du Québec importe la plus grande quantité de vins et de mousseux. Ce sont principalement les vins français, californiens et italiens qui sont les plus prisés des Québécois.
Pour réduire le transport de ces boissons, essayons de consommer des vins québécois et ontariens !
2e place : fruits frais, séchés et noix
Cette catégorie représente 11 % des importations, en provenance principalement des États-Unis et du Chili.
Par ordre décroissant, les fruits que nous importons le plus sont : les agrumes, les bananes y compris le plantain, les bleuets et les raisins.
Dans la catégorie des noix, les amandes arrivent en haut du palmarès. La majorité des amandes proviennent de la Californie. La production d’une seule amande requiert 12 litres d’eau.[i]
Les graines sont une bonne alternative aux noix : les graines de citrouille sont celles qui utilisent moins d’eau !
Ce sont les fèves de cacao qui sont les plus importées, viennent ensuite le beurre de cacao et l’huile de cacao. Cette catégorie représente 10 % des importations.
Au Québec, il est difficile de trouver un équivalent au chocolat. En choisissant un chocolat bio, en vrac et provenant du commerce équitable, on participe à la réduction de notre empreinte planétaire.
4e place : sucre et sucreries
Le sucre et les sucreries représentent 7 % des importations, notamment de la canne à sucre issue du Brésil (72 % du sucre). Pour rappel, c’est à partir de la canne à sucre que l’on va extraire le sucre pour en faire du sucre blanc, du sucre de canne, de la cassonade….
Le sirop d’érable et le miel provenant du Québec sont de belles alternatives.
5e place : préparation de légumes et de fruits
Le jus d’orange et les conserves (en bocal ou en conserve) de fruits et légumes sont grands gagnants de la catégorie. Une grande partie des jus proviennent des États-Unis, plus spécifiquement de la Californie.
Les conserves de tomates proviennent surtout de la Chine. On parle de plus en plus de l’or rouge pour parler de la tomate. Un reportage intéressant permet de mieux comprendre ce phénomène :
Pour contourner ces tomates importées, profitez des tomates italiennes (provenant du Québec) qu’on retrouve à la fin de l’été (septembre) en vente dans les marchés, souvent proposées à des prix plus qu’abordables. Utilisez une technique de conservation des tomates pour faire vos provisions pour l’hiver ou congelez-les entières ! Faire des conserves avec la famille ou les amis pourrait être bénéfique à tous et simplifie la tâche !
6e place : Poisson et crustacés
Les importations de poissons représentent 6 % des produits alimentaires importés. C’est le Chili, la Chine, les États-Unis et le Vietnam qui nous en envoient le plus. Nous sommes friands des filets de saumons du Pacifique, de l’Atlantique et du Danube (congelés). On remarque une forte croissance pour le thon rouge, les filets de morue, les filets de tilapia et les filets de lieu.
Pour manger plus de poisson du Québec, le site internet Fourchette bleue nous indique les poissons provenant de pêche durable. Un article cite également 8 poissons à éviter…
7e place : Café, thé et épices
Cette catégorie représente 6 % des importations. De cette catégorie, le café représente 66 %, suivent la vanille (17 %), le thé (6,7 %), le poivre (5,32 %) et finalement toutes les épices.
Il sera de nouveau compliqué de trouver une alternative à la caféine. Une consommation raisonnable de café aiderait à réduire ces importations. La dose de caféine raisonnable et recommandée par jour est de 400 mg par jour par adulte (pour les enfants, voir la note de bas de page[ii]). Cette quantité représente 2 tasses de café filtre (179 mg de caféine par tasse) ou étonnamment jusqu’à 10 tasses de café expresso (40 mg de caféine par tasse).
Principaux produits bioalimentaires importés de l’étranger par le Québec
Produits
Part du total de 2018
Part comblée par les pays fournisseurs en 2018
Boissons, liquides alcooliques et vinaigres
22 %
France (27 %), États-Unis (19 %), Italie (17 %), Espagne (5 %)
Fruits frais et séchés, noix
11 %
États-Unis (14 %), Chili (12 %), Maroc (9 %), Espagne (8 %)
Source : Global Trade Tracker; compilation du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.
D’un point de vue nutritionnel, il faudrait consommer moins de vins, moins de chocolats, moins de sucres, moins de jus importés et moins de café : cette recommandation concorde avec le Guide alimentaire canadien, ces aliments n’en faisant pas partie ! Il sera plus complexe de limiter notre consommation en fruits frais l’hiver. En revanche, au niveau des noix et des poissons, il y a matière à réflexion…
Manger sainement, local, en vrac, en prenant en compte l’importation des aliments, c’est toute une prise de conscience à développer et à acquérir.
[ii] Pour les enfants de moins de 12 ans, Santé Canada recommande un apport quotidien maximal en caféine de 2,5 milligrammes par kilogramme de poids corporel. La caféine est présente dans d’innombrables produits, notamment le café, le thé, le chocolat, les colas et certains médicaments, ainsi que dans les boissons énergisantes et les « concentrés énergisants ». La teneur en caféine varie d’une boisson énergisante à une autre, mais peut se situer entre 50 mg et plus de 200 mg par canette, ce qui est largement supérieur à l’apport maximal quotidien recommandé pour la plupart des enfants et des adolescents.
Selon Éducatout, 60 ml (1/4 tasse) de cacao contient 47 mg de caféine, 1 once (28 g) de chocolat noir à 70 %-85 % de cacao contient 24 mg de caféine, un carré de chocolat au lait de 1 once (28 g) contient 7 mg de caféine et 250 ml (8 onces) de lait au chocolat contient 8 mg de caféine.
Vous avez pris la résolution de vous donner de meilleures habitudes pour préserver la planète ? L’écologie est une valeur qui fait déjà partie intégrante de votre quotidien ?
Ce mois-ci, on vous présente des ustensiles écologiques à utiliser en cuisine.
Note : Cet article fournit une liste non exhaustive de points de ventes pour trouver les produits présentés dans le but d’offrir des prix variés, et accessibles pour tous les budgets. Les fournisseurs présentés peuvent ne pas partager les valeurs promues par Ville en vert. Néanmoins, chaque petit geste pour la planète compte !
Les appareils électroniques
Un téléphone cellulaire, un ordinateur et une tablette comme outils écologiques? Oui! Ils le sont, lorsqu’on les utilise aussi pour cuisiner. En effet, on peut recueillir diverses informations et idées en lien avec la cuisine et l’alimentation au même endroit. Par exemple, on peut y rassembler les recettes par catégories, conserver des photos d’inspiration et des livres de recettes en format électronique. Le tout, sans utiliser davantage de ressources matérielles. D’ailleurs, les appareils électroniques sont de bons alliés pour rester organisé (par exemple, pour l’utilisation de listes d’épicerie) et pour consulter les rabais en ligne.
Pour plus d’infos sur des applications pratiques, inscrivez-vous aux conférences Cuisiner à petit prix données par Ville en vert.
Notre sélection d’ustensiles de cuisine écologiques
Les essuie-tout réutilisables
Pour réduire l’utilisation d’essuie-tout à usage unique (bien que compostables), plusieurs compagnies offrent désormais des essuie-tout réutilisables, ultra-absorbants et qui sont lavables à la machine.
Plus écologiques et durables que la pellicule de plastique traditionnelle, les couvre-bols réutilisables s’ajustent à la plupart des plats grâce à leur bande élastique, et ils sont lavables à la machine.
Pour des options stylées :
12,50$ le couvre-bol, ou 18,49$ pour un ensemble de 2 chez l’Escale Verte
Le silicone est un matériau tolérant aux hautes températures et empêche les aliments de coller. Lavable et réutilisable, il est une belle alternative au papier parchemin ou d’aluminium.
Plus besoin d’huile, de beurre ou de papier parchemin: pour couvrir les plaques de cuisson, le tapis de silicone est une option plus saine pour réduire la graisse et les calories dans vos plats!
Pour organiser l’inventaire des épices et réduire la quantité de plastique lors des achats (c’est-à-dire les petites boîtes en plastique ou les sachets refermables vendus en épicerie), les pots à épices en verre sont très pratiques. Avec ces petits contenants, on peut acheter en vrac, sans pour autant acheter en gros, tout en préservant la fraîcheur des épices.
Dans une optique de réutilisation de biens, les sites de reventes tels que Kijiji, Lespac et Craigslist peuvent s’avérer une mine d’or pour trouver des articles de cuisine usagés à prix modiques!
Il existe également des groupes de petites annonces et d’échanges de biens sur les réseaux sociaux. Par exemple, Troc tes trucs est un organisme qui propose des activités de troc pour soutenir le développement durable. Pour plus d’infos, visitez leur page Facebook.
Et vous, quels sont vos meilleurs outils de cuisine écolo ?
Importation : Est-il possible d’être plus écologique dans nos choix alimentaires?
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Dernière mise à jour: 28 septembre 2020 par Christophe Derrien
Vins de France, cacao de la Côte d’Ivoire, sucre du Brésil, poissons du Chili et café du Madagascar. Voici une liste non exhaustive des aliments que l’on importe le plus au Québec.
1re place : boissons, liquides alcooliques et vinaigres
C’est la catégorie bioalimentaire la plus sujette à l’importation (22 %). La province du Québec importe la plus grande quantité de vins et de mousseux. Ce sont principalement les vins français, californiens et italiens qui sont les plus prisés des Québécois.
Pour réduire le transport de ces boissons, essayons de consommer des vins québécois et ontariens !
2e place : fruits frais, séchés et noix
Cette catégorie représente 11 % des importations, en provenance principalement des États-Unis et du Chili.
Par ordre décroissant, les fruits que nous importons le plus sont : les agrumes, les bananes y compris le plantain, les bleuets et les raisins.
Dans la catégorie des noix, les amandes arrivent en haut du palmarès. La majorité des amandes proviennent de la Californie. La production d’une seule amande requiert 12 litres d’eau.[i]
Les graines sont une bonne alternative aux noix : les graines de citrouille sont celles qui utilisent moins d’eau !
En savoir plus sur les noix : Faut-il se casser la noix pour consommer local?
3e place : cacao et préparations apparentées
Ce sont les fèves de cacao qui sont les plus importées, viennent ensuite le beurre de cacao et l’huile de cacao. Cette catégorie représente 10 % des importations.
Au Québec, il est difficile de trouver un équivalent au chocolat. En choisissant un chocolat bio, en vrac et provenant du commerce équitable, on participe à la réduction de notre empreinte planétaire.
4e place : sucre et sucreries
Le sucre et les sucreries représentent 7 % des importations, notamment de la canne à sucre issue du Brésil (72 % du sucre). Pour rappel, c’est à partir de la canne à sucre que l’on va extraire le sucre pour en faire du sucre blanc, du sucre de canne, de la cassonade….
Le sirop d’érable et le miel provenant du Québec sont de belles alternatives.
5e place : préparation de légumes et de fruits
Le jus d’orange et les conserves (en bocal ou en conserve) de fruits et légumes sont grands gagnants de la catégorie. Une grande partie des jus proviennent des États-Unis, plus spécifiquement de la Californie.
Les conserves de tomates proviennent surtout de la Chine. On parle de plus en plus de l’or rouge pour parler de la tomate. Un reportage intéressant permet de mieux comprendre ce phénomène :
L’empire de l’or rouge, reportage sur la tomate :
https://vimeo.com/ondemand/lempiredelorrouge (en anglais)
https://ici.tou.tv/l-empire-de-l-or-rouge (en français, être abonné à « ici tou.tv »)
Pour contourner ces tomates importées, profitez des tomates italiennes (provenant du Québec) qu’on retrouve à la fin de l’été (septembre) en vente dans les marchés, souvent proposées à des prix plus qu’abordables. Utilisez une technique de conservation des tomates pour faire vos provisions pour l’hiver ou congelez-les entières ! Faire des conserves avec la famille ou les amis pourrait être bénéfique à tous et simplifie la tâche !
6e place : Poisson et crustacés
Les importations de poissons représentent 6 % des produits alimentaires importés. C’est le Chili, la Chine, les États-Unis et le Vietnam qui nous en envoient le plus. Nous sommes friands des filets de saumons du Pacifique, de l’Atlantique et du Danube (congelés). On remarque une forte croissance pour le thon rouge, les filets de morue, les filets de tilapia et les filets de lieu.
En savoir plus sur la pêche durable : De la pêche durable dans nos assiettes…
Pour manger plus de poisson du Québec, le site internet Fourchette bleue nous indique les poissons provenant de pêche durable. Un article cite également 8 poissons à éviter…
7e place : Café, thé et épices
Cette catégorie représente 6 % des importations. De cette catégorie, le café représente 66 %, suivent la vanille (17 %), le thé (6,7 %), le poivre (5,32 %) et finalement toutes les épices.
Il sera de nouveau compliqué de trouver une alternative à la caféine. Une consommation raisonnable de café aiderait à réduire ces importations. La dose de caféine raisonnable et recommandée par jour est de 400 mg par jour par adulte (pour les enfants, voir la note de bas de page[ii]). Cette quantité représente 2 tasses de café filtre (179 mg de caféine par tasse) ou étonnamment jusqu’à 10 tasses de café expresso (40 mg de caféine par tasse).
Principaux produits bioalimentaires importés de l’étranger par le Québec
Source : Global Trade Tracker; compilation du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.
D’un point de vue nutritionnel, il faudrait consommer moins de vins, moins de chocolats, moins de sucres, moins de jus importés et moins de café : cette recommandation concorde avec le Guide alimentaire canadien, ces aliments n’en faisant pas partie ! Il sera plus complexe de limiter notre consommation en fruits frais l’hiver. En revanche, au niveau des noix et des poissons, il y a matière à réflexion…
Manger sainement, local, en vrac, en prenant en compte l’importation des aliments, c’est toute une prise de conscience à développer et à acquérir.
Noémie Beaucarne
Conseillère en nutrition
Références
[i] Water-indexed benefits and impacts of California almonds ou l’analyse du California Board of Almonds: WATER FOOTPRINT + ALMONDS
[ii] Pour les enfants de moins de 12 ans, Santé Canada recommande un apport quotidien maximal en caféine de 2,5 milligrammes par kilogramme de poids corporel. La caféine est présente dans d’innombrables produits, notamment le café, le thé, le chocolat, les colas et certains médicaments, ainsi que dans les boissons énergisantes et les « concentrés énergisants ». La teneur en caféine varie d’une boisson énergisante à une autre, mais peut se situer entre 50 mg et plus de 200 mg par canette, ce qui est largement supérieur à l’apport maximal quotidien recommandé pour la plupart des enfants et des adolescents.
Selon Éducatout, 60 ml (1/4 tasse) de cacao contient 47 mg de caféine, 1 once (28 g) de chocolat noir à 70 %-85 % de cacao contient 24 mg de caféine, un carré de chocolat au lait de 1 once (28 g) contient 7 mg de caféine et 250 ml (8 onces) de lait au chocolat contient 8 mg de caféine.
Des ustensiles écolo en cuisine!
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Dernière mise à jour: 15 novembre 2021 par Christophe Derrien
Vous avez pris la résolution de vous donner de meilleures habitudes pour préserver la planète ? L’écologie est une valeur qui fait déjà partie intégrante de votre quotidien ?
Ce mois-ci, on vous présente des ustensiles écologiques à utiliser en cuisine.
Note : Cet article fournit une liste non exhaustive de points de ventes pour trouver les produits présentés dans le but d’offrir des prix variés, et accessibles pour tous les budgets. Les fournisseurs présentés peuvent ne pas partager les valeurs promues par Ville en vert. Néanmoins, chaque petit geste pour la planète compte !
Les appareils électroniques
Un téléphone cellulaire, un ordinateur et une tablette comme outils écologiques? Oui! Ils le sont, lorsqu’on les utilise aussi pour cuisiner. En effet, on peut recueillir diverses informations et idées en lien avec la cuisine et l’alimentation au même endroit. Par exemple, on peut y rassembler les recettes par catégories, conserver des photos d’inspiration et des livres de recettes en format électronique. Le tout, sans utiliser davantage de ressources matérielles. D’ailleurs, les appareils électroniques sont de bons alliés pour rester organisé (par exemple, pour l’utilisation de listes d’épicerie) et pour consulter les rabais en ligne.
Pour plus d’infos sur des applications pratiques, inscrivez-vous aux conférences Cuisiner à petit prix données par Ville en vert.
(contact : [email protected])
Notre sélection d’ustensiles de cuisine écologiques
Les essuie-tout réutilisables
Pour réduire l’utilisation d’essuie-tout à usage unique (bien que compostables), plusieurs compagnies offrent désormais des essuie-tout réutilisables, ultra-absorbants et qui sont lavables à la machine.
Les couvre-bols
Plus écologiques et durables que la pellicule de plastique traditionnelle, les couvre-bols réutilisables s’ajustent à la plupart des plats grâce à leur bande élastique, et ils sont lavables à la machine.
Pour des options stylées :
Pour une option économique : le bonnet de douche ! Disponibles dans les pharmacies et les magasins du dollar.
Les sacs à collations et à sandwichs
Il existe désormais une panoplie de sacs à fermeture éclair sur le marché, avec des motifs et couleurs pour tous les goût.
Suggestions de produits fabriqués au Québec (prix variables selon les ensembles):
Les tapis de silicone
Le silicone est un matériau tolérant aux hautes températures et empêche les aliments de coller. Lavable et réutilisable, il est une belle alternative au papier parchemin ou d’aluminium.
Plus besoin d’huile, de beurre ou de papier parchemin: pour couvrir les plaques de cuisson, le tapis de silicone est une option plus saine pour réduire la graisse et les calories dans vos plats!
Pour en savoir plus sur le silicone: https://fr.davidsuzuki.org/mode-de-vie/articles-de-cuisson-silicone-ecolos-securitaires/
Les contenants à épices
Pour organiser l’inventaire des épices et réduire la quantité de plastique lors des achats (c’est-à-dire les petites boîtes en plastique ou les sachets refermables vendus en épicerie), les pots à épices en verre sont très pratiques. Avec ces petits contenants, on peut acheter en vrac, sans pour autant acheter en gros, tout en préservant la fraîcheur des épices.
Une visite sur les sites web de reventes
Dans une optique de réutilisation de biens, les sites de reventes tels que Kijiji, Lespac et Craigslist peuvent s’avérer une mine d’or pour trouver des articles de cuisine usagés à prix modiques!
Il existe également des groupes de petites annonces et d’échanges de biens sur les réseaux sociaux. Par exemple, Troc tes trucs est un organisme qui propose des activités de troc pour soutenir le développement durable. Pour plus d’infos, visitez leur page Facebook.
Et vous, quels sont vos meilleurs outils de cuisine écolo ?
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