[email protected] (514) 447- 6226 #300 (Ahuntsic) | (514) 447- 6226 #301 (Cartierville) | (514) 447- 6226 #302 (Villeray) | (514) 447- 6226 #303 (Parc-Extension)| (514) 447- 6226 #304 (Saint-Michel) | (514) 447- 6226 #305 (Pie IX) | (514) 447- 6226 #306 (Rolland)

Que faire de nos soirs et weekends ? Pourquoi ne pas écouter un film ou un documentaire divertissant ET instructif ?

Avec l’automne qui vient de s’établir, Ville en vert souhaite vous aider à occuper vos fins de semaine sécuritairement et au chaud. On vous propose une liste de documentaires et films à écouter, gratuits ou à faible cout, en ligne et dans le confort de votre domicile.  

En lien avec le fléau des déchets à usage unique, on vous propose deux documentaires choquants, qui vous donneront envie de les éliminer de vos vies. 

  • A Plastic ocean (2016, 102 min) traite de la condition de nos océans à travers le monde sous l’angle d’une équipe composée de scientifique, de journaliste et de plongeur. Le documentaire se retrouve sur Netflix et iTunes
  • Straws (2018, 33 min) est un court documentaire sur le plastique à usage unique et ses effets sur notre planète. Vous pouvez le louer ou l’acheter en suivant le lien suivant : https://vimeo.com/ondemand/straws

Un autre documentaire sur la thématique de la gestion des matières résiduelles qui vaut la peine d’être vu est The true cost (2015, 92 min)Il décortique le monde de la fast fashion et ses conséquences sociales et environnementales. Le documentaire traite de l’aspect humain et de l’aspect environnemental, comme la quantité de déchets que crée l’industrie de la mode. Vous pouvez le trouver ici : https://truecostmovie.com/watch/the-true-cost et le louer numériquement pour 9,99 $. 

La plateforme de l’ONF propose un vaste choix d’œuvres canadiennes gratuites ou sous la barre des 10 $ sur diverses thématiques environnementales. On y retrouve, le documentaire Pour ne pas perdre le nord (2009, 21 min) de Sarah Mc-Nair Landry qui traite de l’effet des changements climatiques dans le nord, particulièrement au Nunavut. Vous pourrez aussi visionner Pipelines, pouvoir et démocratie (2015, 1h 28 min) de Olivier D. Asselin qui suit le parcours d’activistes qui agissent contre le projet de pipeline Énergie Est de TransCanada. Vous pouvez les retrouvez et plusieurs autres, en cliquant ici : https://www.onf.ca/sujets/environnement-et-conservation/

La plateforme tout.tv de Radio-Canada offre plusieurs documentaires gratuits ou accessibles avec un abonnement mensuel de 6,99 $. On y retrouve l’incontournable La terre vue du cœur (2019, 93 min) de Iolande Cadrin-Rossignol avec Hubert Reeves comme invité. Vous pouvez retrouver ce documentaire et bien d’autres, en suivant le lien suivant : https://ici.tou.tv/categorie/documentaire?filtre=nature-et-environnement

Bonne écoute ! 

Le marcottage pour reproduire facilement ses vivaces préférées

Le marcottage dit de base ou par couchage est certainement la technique la plus simple pour multiplier une plante vivace à partir du pied mère.  Bien que peu pratiqué par les jardiniers, le marcottage offre l’avantage de prendre peu de temps, presque aucun outil et d’avoir un très fort taux de réussite, puisque c’est la nature qui travaille pour nous. 

Les végétaux qui se marcottent facilement au sol sont les vivaces grimpantes et les arbustes ligneux. Les plus expérimentés peuvent aussi marcotter des arbres feuillus et conifères aux branches basses. Pour une première expérience, tentez sur un arbuste à petits fruits, comme le groseillier, gadellier, murier-ronce ou sur un rosier grimpant. 

Si on marcotte à la fin du printemps, le nouveau plant sera prêt à l’automne. On peut aussi marcotter à l’automne, alors le plant sera prêt au printemps suivant.

En pratique, on sélectionne un plant mère en bonne santé, on choisit un rameau long et flexible, dont il suffira de coucher le centre du rameau sur la terre à l’endroit qui sera son futur emplacement. Si le sol est compact, on peut gratter la terre sur cinq centimètres de longueur et un ou deux centimètres de profondeur. On pose cinq centimètres de la tige sur ce sillon puis on pose une pierre au-dessus pour la maintenir immobile. Si le sol est sec, on peut arroser. Les racines vont se développer à cet emplacement et quelques mois plus tard, le réseau racinaire sera suffisamment fort pour que le nouveau plant soit autonome. Il suffira alors de couper la tige qui le rattachait au pied mère. À ce moment-là, vous pourrez récupérer ce nouveau plant et le repiquer où bon vous semble. 

La liste des plantes faciles à marcotter est longue, en voici les principales à tenter chez vous : clématite, hortensia, glycine, chèvrefeuille, rhododendron, jasmin, vigne, kiwi (Actinidia), romarin, sauge, fraisier…

Source : https://www.rustica.fr/tags/marcotter (consulté le 25 septembre 2020)

Légende photo : marcotte par couchage d’un gadellier réalisé en aout et son développement racinaire trois semaines plus tard.